Le 8 octobre, il y a de nouveau des élections communales. déi Lénk a depuis 2011 influencé la politique communale de façon engagée et constructive
Représentée au conseil communal par Serge Urbany et Patrizia Arendt (pendant la 2e mi-temps, selon le principe de rotation), déi Lénk a soutenu les projets qui font avancer la commune et qui apportent aux gens une meilleure qualité de vie. Et elle a critiqué ce qu’il fallait critiquer.
Nous nous sommes insurgés et avons mis en garde, souvent comme seul parti d’opposition, contre la façon de reporter les coûts de certains services communaux de façon non différenciée et donc socialement injuste sur les citoyennes et les citoyens, contre les injustices sociales criantes en matière de logement et contre un développement sauvage de la commune.
En matière de démocratie, déi Lénk a souvent thématisé le manque de possibilités des citoyennes et citoyens de s’investir dans la politique communale. Sans relâche elle a critiqué le manque de transparence dans la politique d’information du collège échevinal LSAP/Les Verts vis-à-vis du conseil communal.
Effrayant à constater était aussi l’insensibilité avec laquelle la fraction du bourgmestre, lors de l’élection de l’office social, s’est débarassée de son propre porte-parole, avec l’aide d’une partie du partenaire de coalition, sans justification politique et sans doute pour des raisons de stratégies électorales personnelles.
Il faut changer de fond en comble cette façon de faire de la politique. Pour déi Lénk, une démocratie communale, proche des citoyennes et des citoyens, signifie que la population obtienne plus de droits et plus de possibilités de participation, que les conseillers communaux reçoivent toutes les informations et ne soient pas seulement considérés comme des suiveurs, mais soient inclus dès le début dans les processus de décision. Et c’est justement dans ce sens que déi Lénk a utilisé son mandat et oeuvré au conseil communal.